Dans la jungle des plugins
WordPress est à l’origine un moteur de blog. Un blog est un ensemble d’articles ouverts (ou non) aux commentaires des visiteurs. Mais la richesse de l’outil ne l’arrête pas à cet usage.
En effet, le core original de WordPress donne accès à des fonctionnalités avancées pour la mise en place de pages statiques, pour l’organisation de ces pages au sein de menus flexibles et pour la définition de templates sur-mesure.
Et pour qui voudrait aller plus loin, la myriade de développeurs qui soutient le projet Open Source, crée des fonctions complémentaires sous forme de plugins.
Ainsi, on peut aisément rendre notre site multilingue, lui attribuer des atouts en optimisation de référencement ou le pourvoir en fonctionnalités eCommerce, lui assigner un workflow de validation des pages, …
Sous réserves…
Oui, sous réserves de bien choisir ses plugins!
Il existe pas loin de 30 000 plugins. Et si la grande majorité fait l’objet d’un suivi de la part de son développeur quelques précautions sont à prendre:
- la compatibilité du plugin avec la version de WordPress
- la compatibilité du plugin avec les autres plugins
- la lourdeur de certains d’entre eux pouvant ralentir le site
- la fonction du plugin répond-elle au cahier des charges
- la popularité de celui-ci est souvent gage de qualité
Ainsi, si je teste systématiquement mes choix et reste prudente quant à leur utilisation, j’utilise régulièrement ces compléments précieux pour atteindre les objectifs ciblés.